L’ascenseur redémarre doucement, mais à peine a-t-il redémarré, que j’appui à nouveau sur le bouton stop. Tu es surprise, je te dis avoir oublié quelques choses. Dans notre précipitation, je n’ai même pas admirer ton bijou en place, tu t’es doucement habitué à lui et avant de rejoindre le restaurant, je te préfère sans soutien-gorge, d’autant que ton chemisier laisse apparaître dans les mouvement, dans l’entrebâillement tes seins.
Tu ôtes à nouveau le manteau pour plus d’aisance, je reprends l’appareil photo. Tu te retournes, te saisis du bas de ta jupe, et la remonte doucement. Apparaît progressivement à ma vue : tes jambes, l’arrière de tes genoux, tes cuisses, le haut des bas maintenu par le porte-jarretelle, puis tes belles fesses, que tu as gardé nu.
Droite, le bijou est invisible, caché dans le sillon des fesses, doucement, tu te penches en avant, et un éclair apparaît, la lumière de la lampe de l’ascenseur fait briller l’objet
. C’est très beau. Je prends quelques photos. Puis je temps ma main, j’appui un peu sur l’objet, ce qui te fait tressaillir un peu, puis je fais comme si je le retirais, mais il reste bien en place.
Je laisse retomber la jupe, glisse une main sous ton chemiser afin de dégrafer ton soutien-gorge, et je t’aide à le retirer.
Tu te rajustes, ton chemisier est bien mis dans la jupe, les boutons bien fermés, le manteau en place, tu glisses le soutien-gorge dans le sac
, et je laisse l’ascenseur repartir.
Arrivée au 6ème, l’ascenseur s’arrête à sa destination programmée initialement, puis commence une descente en s’arrêtant à tous les étages, avec les personnes qui espérant le voir repartir ont appuyé un peu partout. Nous arrivons enfin au rez-de-chaussée. Croisons des occupants de l’immeuble qui nous confient, qu’il est bien souvent en panne, et que nous avons eu de la chance de sortir, car souvent des gens restent coincés jusqu’à l’intervention du technicien.
Nous sortons complice de cet immeuble, excités comme des adolescents, et marchons doucement vers le Barrio latino.
Nous entrons dans le restaurant, où sur l’heure du déjeuner, ce n’est pas trop la foule du soir, nous avons une petite table à l’étage dans un coin, impeccable si nous voulons regarder les dernières photos prises sur mon ordinateur. En attendant nous plongeons tous les deux dans la carte pour faire notre choix, nous avons faim.
Mardi 28 mars
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Par Domi
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Publié dans : 2ème Rendez-vous
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