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Ce blog est en pause depuis quelques temps, il réouvrira incesssament sous peu, si vous êtes interressé à participer, laissez moi un mail
Domi
Sa main sur ma cuisse....Sa paume me brûle.... j'ai tant envie qu'il poursuive sa caresse jusqu'à mon ventre...
Je m'applique... les lignes se troublent un peu alors que je lui lis "le con d'Irène"... J'aime faire la lecture de textes érotiques... d'un ton posé mais suave... et dans ce salon de thé
bourgeois... le contraste est si délicieusement pervers. J'écarte imperceptiblement mes cuisses afin de lui offrir plus encore... Envie de ses doigts sur mon sexe...
La table juponnée nous cache un peu... si peu... mais l'audace de l'envie...Images brûlantes de ses mains emprisonnant mes seins... de son sexe entre mes fesses...Je me cambre et cale mes
reins contre la banquette de velours vert. Nonchalamment, je remonte une de mes jambes...
"... Ne bougez plus, restez, et maintenant avec deux pouces caresseurs profitez de la bonne volonté de cette enfant lassée,
enfoncez, avec vos deux pouces caresseurs écartez doucement, plus doucement, les belles lèvres, avec vos deux pouces caresseurs, vos deux pouces..."
Je ressens la respiration de D. à mes côtés... Un instant, je le regarde...
Malgré ma main posée sur sa cuisse, elle ne bouge à peine et poursuit sa lecture, le lieu ne me permet pas de poser ma main sur son
sein sans éveiller l’attention, dans un mouvement je l’effleure, l’autre main reste poser sur sa cuisse.
Doucement cette dernière remonte un peu, juste au dessus du bas, je joue un peu avec l’attache de la jarretelle, un petit mouvement
écarte un peu plus les pans de la robe. Maintenant, son sexe est découvert, totalement dénudé, impudique. Une épilation parfaite, assise, les cuisses encore serrées, elle laisse juste entrevoir
le haut d’une fente.
La beauté et la pureté de la peau à cette endroit invite à la caresse, en tout autre lieu, j’aurais passé une langue, mais là je vais
me contenter de passer mes doigts.
Pour l’instant, je garde ma main immobile sur le haut de la cuisse, au dessus du bas, j’écoute la lecture, elle reste impassible à ma
caresse
... Je sens sa main douce et chaude se poser sur ma cuisse... à la lisère noire... son bras effleure à peine mon sein dressé vers
lui...Frissons délicieux... Je m'adosse à la banquette pour poursuivre plus aisément ma lecture... mais aussi pour lui laisser le loisir de poursuivre sa caresse.... Osera-t-il ?
"... Salut à toi, écrin pâle, vulve dans son ampleur à l'instant apparue. ...
Comme il se tend vers nos yeux, comme il bombe, attirant et gonflé, avec sa chevelure d'où sort, pareil aux trois déesses nues au-dessus des arbres du Mont Ida, l'éclat incomparable du ventre et
des deux cuisses. Touchez, mais touchez donc vous ne sauriez faire un meilleur emploi de vos mains. Touchez ce sourire voluptueux, dessinez de vos doigts l'hiatus ravissant. Là que vos deux
paumes immobiles, vos phalanges éprises à cette courbe avancée se joignent vers le point le plus dur, le meilleur, qui soulève l'ogive sainte à son sommet, ô mon église..."
Ma voix demeure basse et douce alors que je lis... Cri ...muet... de désirs car ses yeux me caressent si voluptueusement...
Nous étions installés à une table dans un angle, assis chacun sur un coté, et non face à face. Alors qu’elle se penchait en avant pour
sortir un petit livre de son sac, elle m’offrait la vue de son sein droit dans l’entrebâillement de sa robe. Elle ne portait pas de soutien-gorge, j’aime une poitrine libre, bougeant
naturellement. Quel magnifique sein qui appelait à la caresse, il était gonflé, une belle peau douce et blanche, et un téton qui pointait.
En décroisant les jambes, les pans de sa robe s’ouvre, et découvre le haut des bas, soutenus par de belles jarretelles noires, les
jambes sont jolies, la peau au dessus du bas semble douce, je pose ma main alors qu’elle se met à faire la lecture.
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