Nous poursuivons quelques échanges, mais avec la fatigue, je sommeille en même temps, nous restons un peu plus sages, au cas où quelqu'un viendrait.

Le voyage se termine, elle me propose d'aller dans le même hôtel, en choisissant des chambres communicantes.

Je lui dis, les chambres communicantes sont rares, et si c'est pour faire la nuit dans l'une ou l'autre, autant n'en choisir qu'une.

Nous nous levons pour rejoindre notre voiture et regrouper nos affaires avant l'arrivée en gare de Biarritz. Laure est devant moi, alors qu'elle allait ouvrir la porte du compartiment dans lequel nous avions passé notre voyage, je posais mes mains fermement sur ses épaules pour l'arrêter, mes mains descendent doucement le long de ses bras et le long de sa ceinture. Surprise elle ne bouge pas.

Mes mains descendent le long de la robe, arrivent à hauteur des cuisses, elles remontent alors. Je me saisis du boxer, et le baisse jusqu'au chevilles, en lui disant, ce n'est pas utile pour le we. Elle lève alors successivement l'un et l'autre pied pour me permettre de l'ôter totalement. Je lui tends, elle le glisse dans son sac à main.