Le chocolat bu.... sourires.... attentes troubles....L'atmosphère est feutrée... les conversations sourdes.......la nuit tombe et la
buée envahit la vitrine...Je me penche vers D. lui offrant mes seins en liberté dans la soie pourpre. Hum.... j'aime m'offrir à lui ainsi au milieu de cette foule gourmande...Je décroise mes
jambes lentement... en faisant glisser les pans de ma longue robe noire...J'ai décidé de lui faire la lecture... j'adore cette caresse verbale d'une voix murmurante, je commence...
"... c'est dans ce sillage humain que les navires enfin perdus, leur machinerie désormais inutilisable, revenant à l'enfance des voyages, dressent à un mât de fortune la voilure du désespoir.
Entre les poils frisés comme la chair est belle sous cette broderie bien partagée par la hache amoureuse, amoureusement la peau apparaît pure, écumeuse et lactée. Et les plis joints d'abord des
grandes lèvres bâillent. Charmantes lèvres,votre bouche est pareille à celle d'un visage qui se penche sur un dormeur, non pas transverse et parallèle à toutes les bouches du monde, mais fine et
longue, et cruciale aux lèvres parleuses qui la tentent dans leur silence, prête à un long baiser ponctuel, lèvres adorables qui avez su donner aux baisers un sens nouveau et terrible, un sens à
jamais perverti..."
Mes jambes lentement... très lentement... s'écartent... et par la fente de ma robe... laissent apparaître en un instant fugace mon sexe nu et épilé...
Quel lieu intéressant qu'Angelina,
j'imagine bien son coté mémé prenant le thé, moi qui aie envie de voir Jane, désirable, avec le mélange de classe de discrétion, mais qui aime qu'un décolleté
s'entrebâille pour laisser voir un sein, qu'une jupe s'ouvre pour découvrir le haut d'un bas, et peut-être glisser une main. Mais au milieu de ces dames respectables !
Aujourd'hui j'ai invité D. l'homme aux yeux "chocolat"...
Vendredi 5 décembre à 17h30....... hmmmm
Je suis à peu près certaine ne pas pouvoir me libérer pour cette
heure-ci..
Mais il me plaît de l'imaginer. Où donc ce rendez-vous....?
Après cette journée froide et neigeuse où je suis rentrée
frigorifiée, je pense à Angelina, sous les arcades
Rivoli.
Pour un chocolat onctueux et brûlant comme son regard...
Jouer de nos yeux dans la douceur de la chantilly.
Conversations feutrées et pensées scabreuses !
Cet homme déchaîne en moi de troublantes images.
Prendre son temps, enfin prendre notre temps...
Lècher ma cuillère avec des airs de chatte languide comme si je dégustais sa
peau.
Elle m’a trop excité, j’ai trop envie d’elle. Je lui dis, ce serait dommage que de gâcher une telle érection. Je l’attrape, et
la serre à nouveau dans mes bras.
Flab a quelques soucis de connexion internet, mais nous allons poursuivre notre correspondance
bientôt
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