Nous poursuivons quelques échanges, mais avec la fatigue, je sommeille en même temps, nous restons un peu plus sages, au cas où quelqu'un viendrait.
Le voyage se termine, elle me propose d'aller dans le même hôtel, en choisissant des chambres communicantes.
Je lui dis, les chambres communicantes sont rares, et si c'est pour faire la nuit dans l'une ou l'autre, autant n'en choisir qu'une.
Nous nous levons pour rejoindre notre voiture et regrouper nos affaires avant l'arrivée en gare de Biarritz. Laure est devant moi, alors qu'elle allait ouvrir la porte du compartiment dans lequel nous avions passé notre voyage, je posais mes mains fermement sur ses épaules pour l'arrêter, mes mains descendent doucement le long de ses bras et le long de sa ceinture. Surprise elle ne bouge pas.
Mes mains descendent le long de la robe, arrivent à hauteur des cuisses, elles remontent alors. Je me saisis du boxer, et le baisse jusqu'au chevilles, en lui disant, ce n'est pas utile pour le we. Elle lève alors successivement l'un et l'autre pied pour me permettre de l'ôter totalement. Je lui tends, elle le glisse dans son sac à main.
J'ouvre alors la porte et nous continuons jusqu'à notre compartiment.
Je la sens à fleur de peau de la douce caresse de sa cuisse par un inconnu, en étant à la limite de son boxer, je perçois la chaleur, le boxer est suffisamment ample, mes doigts glisseraient facilement dessous, mais je ne franchirais pas la limite, la barrière des vêtements, je décidais de passer à l'autre cuisse, pour cela mes doigts effleure le boxer, au-dessus de son pubis. Le tissu soyeux me laisse deviner le renflement du mont de venus, sans doute épilé intégralement, ou presque, car les poils ne relèvent pas le tissu. Je m'attarde un peu au-dessus de son sexe, je sens la chaleur au travers du tissu, je ressens même une petite humidité.
A ce moment là, je passe sur la peau, sur l'autre cuisse, je retrouve la chaleur et la douceur de la peau.
Au même moment, il y a du bruit dans le couloir, des voyageurs qui se rendent à la voiture bar ? Le contrôleur ? Laure rajuste sa robe au cas où la porte s'ouvrirait.
Non pas encore....envie de tout découvrir comme ça.....?????
il continue à me caresser le haut des cuisses
l'effleurement de ses doigts...qui glisse le long de la dentelle grise.....ma robe pose a la limite de mes bas...
lui laisser deviner éveiller son imagination.....
je sens une douce chaleur au creux de ma chatte.....le désir du we qui va se dérouler....
Ai je le choix ? Entre un we seul et un we avec vous, avec la possibilité de caresses au-delà de la barrière des vêtements ! Mon choix est fait.
Je respecterais le pacte de ne pas passer la barrière des vêtements à cet heure, mais peut-être pourriez vous retirer quelques barrières ?
Vénale non
mais me donner au premier venu seulement car il est séduisant et réveil en moi un érotisme endormi non.....donc j'ai envie de vous je pense que vous avez envie de moi ...vu la bosse qui se forme entre vos jambes....mais il n'empêche que faire l'amour avec moi se mérite.....
créer l'envie le besoin de vous sentir au fond de moi ...et ce sera oui....
et oui vos mains sur ma peau nue me séduisent mais interdit à cette heure de passer la barrière des vêtements.....
ça vous dit???
Je pense que oui.....car je devine ce désir qui s'élève...Cela vous dit comme programme du we?
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