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  • : Correspondances érotiques sans tabous
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  • : Correspondances érotiques et fantasmes. Quelques écrits échangés par email avec des amies. Sans tabous ni préjugés, ils permettent de se découvrir, d'avouer certains fantasmes. Qui nous sommes ? Domi, parisien, marié, 50 ans JR, parisienne, mariée, Flab, en province, et Nikita, à Paris
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Petit truc de lecture : La lecture se fait à l'envers, pour lire choisir une catégorie ...puis remonter le temps
Laissez un commentaire, cela fait toujours plaisir

Nous avons rendez-vous à 12h30 ce qui me laisse une partie de la matinée pour me préparer tranquillement avant d'aller prendre mon train. Le choix de mes vêtements étant fait, je peux consacrer tout mon temps à ma toilette. Je prends un bon bain parfumé puis rafraichit mon épilation afin que mon sexe soit comme toujours nu et bien lisse.Pas un poil n'échappe à ma vigilance, je vérifie en écartant mes grandes lèvres puis dans la glace en me penchant s'il n'en reste pas près de l'anus.Mon sexe réagit déjà à cette inspection, il est déjà humide! J'enfile rapidement ma jupe mon tee shirt et mes dim up.

Je me maquille et me parfume ensuite soigneusement

 

Je prépare ensuite mon sac y glissant quelques sex toys puis me dirige vers la gare pour prendre mon train. Je suis en avance en arrivant à Paris. En attendant l'heure je fais un tour chez Concorde voir les nouveautés de l'automne. Il est 12h25 quand j'entre dans le café et surprise Domi est déjà arrivé et m'attend tranquillement à une table.

Quelques chiffres

167 131 pages vues au total
45 779 visiteurs uniques

Après cette pause estivale, cela va faire du bien que de retrouver JR, en plus les beaux jours reviennent, une belle arrière saison. Je donne rendez-vous à JR au café A, le café A se situe au 148, rue du Faubourg Saint-Martin, c'est le café de ma maison de l'Architecture, dans l'ancien couvent des Récollets
 
Un peu d'histoire
"L'ordre des Récollets - un ordre mineur franciscain- s'est établi en 1603 au faubourg Saint-Laurent, hors l'enceinte de Paris, avec l'appui de Henri IV et de Marie de Médicis, qui se déclare fondatrice du couvent. Une première chapelle est bâtie, tôt remplacée par une seconde, dès 1614. Le couvent, dont la première pierre est posée en 1619, prospère jusqu'à réunir plus de 200 moines au début du XVIIIème siècle.

Ils ne sont plus qu'une trentaine en 1789. À la Révolution, le couvent est pillé, réquisitionné pour y loger une caserne de grenadiers de la garde nationale, avant que s'y installe un atelier de filature et qu'en 1794 il soit transformé en hospice. Il devient hospice des incurables -hommes en 1802. Les bâtiments sont remaniés : c'est en particulier pendant cette période que la chapelle est réduite, et dotée d'une nouvelle façade néoclassique.

En 1860, par décret, l'hospice passe de l'Assistance publique au ministère de la Guerre et devient hôpital militaire Saint-Martin. Des travaux sont engagés, un niveau est ajouté, et la façade est unifiée. En 1913, il prend le nom de Villemin, médecin militaire découvreur de l'inoculabilité de la tuberculose. En 1926, la construction de l'avenue de Verdun, devenue rue du faubourg Saint-Martin, amène à détruire une partie du cloître, cependant que des terrains sont cédés à la Compagnie des Chemins de Fer, qui agrandissent la gare de l'Est, en 1931.

Devenu vétuste, l'hôpital ferme ses portes en 1968 et est évacué en 1971. En 1973, deux ailes sont détruites. Les anciens jardins sont affectés à la réalisation du centre hospitalier et universitaire Saint Louis - Lariboisière, et à la création d'un jardin public de la Ville de Paris - le square Villemin. Les restes de l'ancien couvent sont affectés à une école d'architecture, Paris - Villemin. Elle y restera près d'une vingtaine d'années.

Entre 1991 et 92, le bâtiment est squatté par un collectif d'artistes, "Les anges des Récollets", jusqu'à ce qu'un incendie oblige à la fermeture des lieux, dont l'avenir paraît incertain. En 1999, l'État, propriétaire des locaux, confie les bâtiments, classés, à la Régie immobilière de la Ville de Paris, qui les restaure pour y accueillir ses occupants d'aujourd'hui."
 
Je lui dis de prendre quelques sex-toys dans son sac, des fois que l'on souhaiterait en faire usage. Sympa le café A pour déjeuner une salade dans un endroit de calme dans ce quartier.
 
Ce matin là j'enfile un costume beige à rayure, une chemisette blanche, des chaussures marrons, et un joli caleçon moulant, je glisse dans mon sac quelques préservatifs et mon appareil photo numérique.
 
12 heures, je quitte le bureau, j'enfourche mon scooter, j'avais donné rendez vous à JR à 12h30, mais pour une fois je suis en avance. Je m'installe à une table, dans le jardin si calme.
La période des vacances est terminée, la rentrée est bien là et avec elle s'annonce la perspective de se revoir et de partager de nouveaux plaisirs bien réels. Ceux-ci seront d'autant plus intenses que nos rencontres sont toujours très attendues et dépendent de nos disponibilités.
 
 Nous devons nous retrouver à l'heure du déjeuner dans un petit restau près de la Gare de l'Est. Le temps encore clément permet de s'habiller  légèrement,et je pense déjà au plaisir de sentir à tout moment les mains de Domi vagabonder et venir me caresser où il en aura envie.
Je vais mettre à cet effet une jupe courte pas trop serrée qui puisse remonter facilement quand je m'assois et donner suffisamment de largeur pour me permettre d'écarter les cuisses et laisser mon sexe accessible pendant le repas sans que nos voisins de table ne s'en aperçoivent, des dim'up, un tee-shirt et aucun dessous.

 

 

Domi parti, nous terminâmes aussi rapidement le dessert, malheureusement comme il nous fallait encore aller chercher un maillot de bains nous n'avions pas le temps de jouer avec les bananes.

Après la douche prise en commun, nous nous sommes rhabillées ce qui fut rapide puisque j'ai dit à Mylène qu'elle reste comme elle était quand elle nous a rejoint c'est à dire sans dessous.

Nous primes le métro pour rejoindre le Grand magasin. Les maillots de bain se trouvaient au 6ème, Mylène hésitait à prendre l'escalator mais je réussi à la convaincre que c'était excitant de penser que quelqu'un pouvait voir nos fesses en levant la tête.

Arrivées au 6ème nous déambulâmes dans le rayon des maillots de bains, on regardait les différents modèles, quand un homme qui devait sans doute se trouver derrière nous dans l'escalator passa très proche de nous et profita qu'on se baissait pour me caresser les fesses, je le laissais faire, voyant cela il s'enhardit à glisser discrètement et rapidement un doigt puis il fit de même en passant derrière Mylène qui se redressa soudainement, l'homme s'éloigna très vite.
Je dis à Mylène que la prochaine fois elle ne réagisse pas comme çà qu'au contraire, elle se laisse faire et même favorise les attouchements. 

Enfin on trouva un modèle deux pièces échancrés à sa taille !

Avant de se séparer car il était l'heure d e rentrer chez moi je lui ai dit qu'elle profie de l'excitation que nous avait procuré l'homme pour jouer avec les bananes que je lui avais laissées

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