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  • : Correspondances érotiques et fantasmes. Quelques écrits échangés par email avec des amies. Sans tabous ni préjugés, ils permettent de se découvrir, d'avouer certains fantasmes. Qui nous sommes ? Domi, parisien, marié, 50 ans JR, parisienne, mariée, Flab, en province, et Nikita, à Paris
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Petit truc de lecture : La lecture se fait à l'envers, pour lire choisir une catégorie ...puis remonter le temps
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Nous nous retrouvons à la sortie de l’immeuble, rue du Faubourg Saint-Denis. La fraicheur, le léger vent nous rappelle à la réalité, toi, la mère, la grand-mère, l’épouse et moi le mari, se promenant respectueusement, mais aussi le spectacle de ton corps plein de désir que tu viens de m’offrir, et je sais que sous ton manteau, ton T-shirt, ta jupe, il y a ce corps magnifique encore plein de désir.

Qu’allons nous faire maintenant, je dois bientôt regagner mon bureau, pour cette 1ère rencontre, je n’avais pas prévue une pause longue, voir un après midi, mais pourtant, il y a beaucoup d’hôtel dans le quartier où nous pourrions passer une après midi torride, mais peut-être malgré ton envie, cela serait te brusquer un peu, tu es déjà allé assez loin par rapport à tes habitudes.

Je me propose de te raccompagner vers le bus qui te mènera à la gare, tu préfère rentrer direct, plutôt que de te balader à demi-nue.

Nous marchons tranquille vers la gare du Nord où nous trouverons le bus, juste avant nous nous glissons sous une porte cochère pour un dernier adieu. Nous nous serrons l’un contre l’autre, mes mais caresse encore un peu ton corps sous ton manteau, nous nous séparons, sortons. Le bus arrive, tu montes, un petit au revoir. Je rejoins mon bureau en pensant à toi, et toi que vas-tu faire, rentrer ? Déambuler ?

Je sens ta main descendre doucement vers mon sexe et l'effleurer doucement, ce qui augmente encore mon désir, tes doigts remontent puis redescendent doucement ,je sais que là tu vas découvrir à quel point je suis sensible à tes caresses.Je sens mes jambes se dérober quand tes doigts arrivent sur mes lèvres et y découvrent l'humidité. Doucement tu m'aides à m'asseoir sur les marches et tu descends de deux marches pour me regarder. Ma jupe est relevée offre à ta vue mon sexe totalement épilé, découvrant ainsi mes grandes et petites lèvres toutes luisantes, mon clitoris qui est aussi à découvert, mes seins sont toujours tendus sous le tee shirt.

Je sens à ton regard que tu me désires, la position dans laquelle je me trouve t'excite tu vois ce sexe qui t'es accessible totalement offert . je ne pense plus qu'à tes caresses, à mon désir que tu continues d'explorer mon sexe avec tes mains, sentir tes doigts me fouiller. Tu te saisis de mon appareil photos, immortalisant ainsi cette pose par plusieurs clichés successifs. je ne me sens plus intimidée par l'objectif comme tout à l'heure.

Un bruit me ramène à la réalité, j'entends des pas dans le couloir, très vite je me rajuste et prends seulement conscience de la manière impudique dont je me suis conduite avec toi, je me sens confuse, comment vas-tu interpréter le fait que je me sois laissée aller comme çà avec toi que je ne connaissais pas quelques heures auparavant.Il n'en reste pas moins que j'ai éprouvé un grand plaisir et que j'ai lu ton désir dans tes yeux.

Nous reprenons notre chemin dans l'immeuble et nous retrouvons bientôt  à la porte cochère qui donne sur la sortie.

Ma main, mes doigts s'approchent doucement de ton sexe, je l'effleure doucement, je suis agréablement surpris par sa nudiaté totale, par cette peau parfaitement lisse. Ce coté lisse donne envie souvent de passer une langue, .., mais là pour l'instant j'effleure, mes doigts sont remontés au-dessus du sexe, et commence une descente lente, n'appuyant que légèrement sur la peau, je suis sur le renflement au-dessus, j'arrive sur le haut des lèvres, et je découvre l'humidité qui y règne. Tu sursautes légèrement, la position inconfortable, debout sur les marches te fait chanceler un peu. Je te retiens alors en plaçant ma main droite sous tes fesses et en te retenant par le bras gauche, doucement je t'aide à t'asseoir sur ces marches.

 


Je recule de 2 marches, je te regarde, tu es belle ainsi impudique sur ces marches : tes seins qui pointent sous ton T-shirt, et surtout ta jupe qui presque totalement remontée, et ouverte. Tes jambes sont découvertes, gainées de leur bas, et surtout ta jupe découvre ton sexe brillant d'humidité. Tu restes ainsi afin que je t'admire, tu sais que tu es très désirable ainsi.

 


Je saisis ton appareil photo, et prend quelques clichés de toi sur ces marches, cette pose involontaire est très belle.

Soudain, nous entendons quelques bruits dans le couloir, aussitôt tu te lèves, te rajustes en rangeant ton T-shirt dans la jupe, et en redescendant la jupe et en replaçant les pants.

Je sens ta confusion, un inconnu approche, mais surtout d'avoir été aussi impudique avec un inconnu, mais tu avais découvert un grand plaisir. Nous poursuivons notre chemin dans l'immeuble.

Tu as dû remarquer aussi que l'immeuble était bien silencieux et qu'il n'y avait pas de risque immédiat à être dérangé car je sens ta main sur ma cuisse et tes doigts qui jouent avec la dentelle de mes bas. Tu continues tes caresses sur ma cuisse tout en remontant légèrement un peu plus à chaque fois, ensuite je la sens aller  derrière ma cuisse et remonter  me caresser de nouveau les fesses, cette fois-ci il n'y a plus de tissu qui les sépare de ta main et je sens beaucoup mieux  la douceur de tes caresses. Des petits frissons me parcourent, je me sens en feu, j'oublie que quelques heures auparavant je ne te connaissais pas.

Tu sens bien que je me suis détendue, que toute crispation est partie et tu continues tes caresses sur mes fesses encore quelque temps, tu les sens se tendre vers ta main, réclamer encore. Lentement tu les quittes et ta main revient doucement vers l'avant, recommençant à me caresser la cuisse , à jouer quelques minutes avec la dentelle de mes bas et je sens ta main remonter plus haut, elle est maintenant tout proche de mon sexe. Ta main s'attarde maintenant au niveau de l'aine et continue de caresser doucement. Je n'ai qu'une envie c'est de la sentir maintenant se poser sur mon sexe en feu.

Ta main continue sa caresse mais petit à petit se rapproche de mon sexe, elle passe doucement sur mon bas ventre et tu t'aperçois qu'aucun rempart ne protège plus mon sexe,tout est lisse, la seule barrière qu'il y avait était le string et celui-ci est depuis longtemps dans mon sac.

Tu hésites encore à poser plus longuement ta main sur mon sexe tu ne fais que l'effleurer et caresse le haut de mon autre cuisse. Tu as senti que j'étais offerte à tes caresses par le mouvement de mon bassin qui s'avançait vers toi.

Ma main est sur ta cuisse, elle est remontée sans difficultés grâce à ta jupe fendue, je joue avec la dentelle du haut des bas, je ne sais pas trop si je pousse plus haut mon exploration au risque de te brusquer ou j’en reste là pour l’instant.

Ma main poursuit sa caresse sur la même zone, mais à chaque mouvement mes doigts vont un peu plus haut, je vais reprendre ma caresse sur les fesses, mais cette fois directement sur ta peau qui est douce, et non à travers le tissu de la robe.

Je fais des mouvements un peu circulaire sur tes fesses, doucement tu passes du crispé au détendu, je vais poursuivre ces caresses des fesses pour te détendre, et peut-être poursuivre l’exploration, la découverte de ton corps, je vais passer ma main devant, vers ton sexe, je n’ai pas encore senti sous mes doigts comment tu l’épilais, est-il fournit…légèrement épilé, totalement épilé, non je ne crois pas tu es réservée, tu dois garder un rempart de poils.

Pour l’instant je reste aux caresses fessières que tu sembles apprécier, d’ailleurs j’adore prodiguer ce genre de caresses

Très vite, intéressée par les boutiques et restaurants exotiques que tu me fais découvrir je ne pense plus que mes dessous sont dans mon sac et je prends des photos de devantures , détails de façade...et même de l'arche de la porte St Denis restauré,on a l'impression de changer de pays au gré des restaurants. A cette heure de la journée on peut humer les odeurs des différentes épices que les restaurants d'origines différentes utilisent, ce qui apporte une note d'exotisme supplémentaire.

Ton idée d'entrer quand nous le pouvons dans les cours d'immeubles est géniale on y découvre de quoi faire encore quelques belles photos, nous continuons notre promenade dans ces anciens immeubles et nous retrouvons dans un petit couloir.

Nous n'entendons aucun bruit, tu commences à descendre l'escalier et je te suis toujours l'appareil photo à la main. quand on arrive à mi hauteur de l'escalier tu t'arrêtes brusquement et te retournes vers moi, je sens aussitôt ta main qui s'est posée sur ma ceinture et descend le long de ma hanche.Je ne bouge pas, laisse faire ta main, après la hanche elle vient me caresser les fesses, ta main est douce et aussitôt je ressens d'agréables sensations en moi exacerbées par le fait que je me sais nue.Que va faire ta main après? je la sens descendre jusqu'à mes genoux se glisser sous ma jupe et se poser sur ma cuisse au dessus de mon bas.

En remontant ta main de mon genou à ma cuisse, je sens que ma jupe remonte elle aussi, la fente de la jupe s'écarte aussi et je dois offrir un spectacle très impudique à tes yeux. J'entends mon coeur battre dans mes oreilles, tous mes sens sont en alerte.je m'abandonne à ta caresse qui se fait légère. Je sens que sous l'effet de tes caresses je commence à mouiller, ce qui me fait penser que je n'ai pas mon string.

J'écoute et regarde autour de moi, c'est toujours silencieux il n'y a apparemment personne en ce moment dans cet immeuble.
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